Résumé :

Vivre les effondrements. Et pour ne pas survivre, affirmer le sans-fond anarchique de la vie : insurgences contre le monde de la destruction. Résurgences des communaux : partage, entraide, coopération. Et des passages entre des mondes. L’anarchisme s’est toujours situé dans les failles de l’histoire. Aujourd’hui celle de la modernité dans son stade terminal. Et c’est ainsi que s’ouvrent à nous des histoires plurielles à venir.
Contre les scènes politiques, contre l’asphyxie de la représentation et ses identités, à nouveau des partisans d’une multiplicité de mondes. L’attention portée à leur vulnérabilité. L’expérience de nos interdépendances : notre autonomie à nous.